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Les hommes sont des crapauds

25 mai 2009

La honte sur moi et sur 92 générations

Après (février, mars, avril, mai... 4) quatre mois de blog, je viens de découvrir à l'instant qu'on pouvait voir les commentaires des gens.

Ouais je sais, ça craint-du-boudin, je suis naze comme tenancière de blog.

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25 mai 2009

Il va falloir sévir

C'est en gros la conclusion de mon passage chez l'ostéo et d'un nouvel épisode ô combien douloureux de mes aventures au pays de la sciatique russe.

En gros, de manière chronologique, ça donne ça : voyage en russie en train = lits pourris pdt un mois = dos en compote. puis stress + chute + fatigue = re-sciatique = ostéo = "il va falloir sévir".

En gros (again et sans fixette sur mon poids), je mange pas bien et je suis stressée, donc je ne suis ni maigre ni zen. et mon dos, il aime pas ça. (et EUX non plus, dc bon).

DONC, à partir de tout-de-suite-maintenant : j'arrête de manger n'importe quoi le soir (sauf pr les resto, ms pas plus de 2 par semaine, ce serait bien pr ma ligne et mon budget), j'arrête le café à hautes doses (selon l'ostéo - et la logique - 5 à 6 espressos par jour, c'est pô bon), je bois du thé détox-kusmi-qui-coûte-un-bras et je vais à la piscine au moins une fois par semaine (une fois dans la semaine et une fois le week-end, ce serait top).

Ca sent un peu la bonne résolution qui ne dure pas, mais pour une fois, je sens que j'en ai envie. j'ai même envie de faire du yoga. genre.

13 mai 2009

Homme qui rit...

... échappe invariablement à ton lit.

Ou comment tirer une leçon d'une pause clope. Alors non, je n'ai pas fait de blague vaseuse à un collègue. J'ai juste évoqué la question de mon humour avec une collègue.

Parce que oui, voilà, il se trouve que j'ai un peu d'humour et que parfois, je fais rire les gens. Oui je sais, c'est trop bien, tout le monde a envie d'avoir une copine marrante, c'est quand même vachement plus chouette à une soirée, ça déride tout le monde et tout.

SAUF QUE c'est le meilleur moyen de LES faire fuir. Eh oui : ILS aiment les filles qui savent LES faire rire, mais ces filles-là passent, à l'instant où le rire sort de LEUR gorge, dans la catégorie "super trop bonne copine avec qui on se marre bien".

Plus radical qu'un bouton sur le nez, plus implacable qu'une absence manifeste de cerveau : l'humour, ça LES refroidit en deux secondes. TROP. BIEN.

Donc dilemme : cesser de faire rire et mettre la main sur l'un d'EUX ou me condamner à rester l'éternelle copine.

Ca, c'est pas du dilemme de fillette.

3 avril 2009

Vous aurez de l'eau chaude dans 3h

Après trois semaines 1/2 sans, j'ai failli embrasser le plombier.

3 avril 2009

Le roi des crapauds

Eh oui, je L'ai trouvé. Et j'ai même couché avec LUI.

Récit d'une aventure que je vais m'efforcer de ne pas reproduire, parce que c'est franchement désagréable.

Petit retour en arrière. Samedi dernier, je LE croise à une soirée, IL me laisse son numéro, enfin bref, une chose en entraînant une autre, je me retrouve hier soir dans SA tannière.

Déjà, quand on a commencé à parler politique et féminisme et qu'on avait des points disons... divergents, j'aurais dû craindre le pire. Mais non, j'ai foncé.

Avance rapide. LUI et moi au lit. IL constate que j'ai une expérience plus limitée que lui (je n'ai pas de chiffres, mais je pense que la majorité des humaines pourraient être dans mon cas), IL se décide à "m'apprendre". Et les ennuis commencent. Parce que SON problème, c'est qu'IL n'est pas très pédagogue. Parce que détailler point par point touuuuut ce qui cloche sans jamais dire ce qui va, c'est... déprimant et pas très encourageant.

Avance rapide again. Nos petites affaires terminées, IL va fumer, checker ses mails, me prévient que les calins post-galipettes, c'est pas un truc de mec, et sombre dans un sommeil profond. Si profond qu'il ne m'entend pas partir ce matin.

Avance rapide dernière. Petite explication de texte sur le thème "eh coco, je t'avais pas un peu dit que bon, voilà quoi, j'étais vaguement sensible, enfin tout ça quoi". Et là, ze réponse qui tue : "Il faut quand même que tu comprennes que ce n'est pas forcément aux gens de s'adapter à toi, mais plutôt l'inverse". (je cite, promis-juré-craché).

Evocation du concept de compromis. Réponse : "en l'occurence, le monde ne fonctionne pas comme ça, bats toi contre ça, si tu veux, mais tu te battras toute ta vie sans résultats..." (idem).

Et là, le tableau est donc complet : borné, intolérant, égoïste, cynique. La totale.

Et l'amertume d'avoir perdu une nuit...

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18 mars 2009

Avec une langue comme ça, tu aurais dû être lesbienne

J'y songe.

18 mars 2009

Ma vie sans eau chaude

Nouveau rebondissement de ma vie de célibataire, mais sans lien avec le célibat : la panne de chauffe-eau. Le truc hyper fourbe qui, pfiout, un beau matin, fait que le plaisir insoupçonné d'une douche chaude disparait.

Et là, c'est mon hedboversaire de douche froide : pile une semaine, et encore pas de changement en vue.

Je vous épargne les multiples étapes infructueuses, les appels quotidiens à l'agence immobilière et le plombier (gentil, certes) qui sent très fort la transpi à 9h du mat', pour me concentrer sur le côté super sympa de la chose : l'eau froide.

D'une part, ça vous réveille une femme : une bonne douche à l'eau froide à 8h le matin, et on oublie que l'on avait sommeil deux minutes avant.

D'autre part, ça rend vivant : vu que votre coeur a failli s'arrêter à cause de la température de l'eau, on s'étonne presque de sortir de la douche debout sur ses petites gambettes rouge vif (toujours à cause la température, hein, vous aviez compris).

En plus, on gagne un temps fou : en 2 minutes montre en main, l'affaire est faite. Aucune raison de traînasser sous le jet doucement tiède, forcément.

Et, surtout, ça rend ingénieuse : on apprend à faire chauffer de l'eau, la mettre dans des thermos (préalablement récupérées au bureau), mélanger avec de l'eau froide et réussir à se mouiller ET rincer les cheveux avec 4 litres d'eau et sans aucune pression.

Bref, c'est un genre de paradis sur terre, un bonheur chaque jour renouvelé. Et qui va bien durer encore 4 ou 5 jours, ô joie !

PS : il paraît que l'eau froide raffermit les chairs. Ce serait bien le seul avantage. Je vous tiens au courant.

5 mars 2009

Promenade au pays de l'e-amour (3)

Episode 3 : la rencontre.

Là ok, j'avoue, je n'ai pas trop creusé le sujet. En fait, l'unique rencontre n'a fait que confirmer ce que j'avais pressenti (et un peu testé par le passé parce que, oui, j'ai eu plusieurs épisodes e-amour) : il y a un truc qui cloche. Même s'IL a l'air normal, que le courant passe bien etc etc, quand vient le moment de la rencontre, toutes ces heures passées à se raconter nos vies sur msn ont... altéré le truc, modifié le charme de la rencontre, effacé l'ivresse de l'inconnu.

On a l'impression de se connaître alors que non, le décalage entre l'idée qu'on se fait et ce qu'IL est vraiment est bien, et quelque chose me défrise. Ce n'est pas un échec, juste un rendez-vous manqué.

End of the story, donc. Mais pas de regret. J'ai bien ri, et j'ai surtout appris des choses sur moi-même, et dit plein de mal d'EUX.

Elle est pas belle, la e-vie ?

4 mars 2009

L'autorité compétente, c'est moi

Christine Lagarde. Mais ça va devenir ma nouvelle devise !

4 mars 2009

Promenade au pays de l'e-amour (2)

Episode deux de l'exploration virtuelle : les techniques d'approche.  Et là aussi, avec un peu d'humour, c'est carrément drôle.

Le classique des classiques : l'email. Simple et révélateur, mais varié tout de même. ILS déploient en effet des trésors de fautes d'orthographe d'imagination pour tenter de paraître plus-mieux-bien que leurs petits camarades. Enfin ILS en ont l'impression, parce qu'au final, entre le laconique "tu me plais, on fait connaissance", la référence à un des détails du profil ou le long, très long mail sur LUI, SES passions, SES qualités, SON travail et le reste de SA vie, on tombe assez vite dans un ron-ron pas très exaltant.

Le classique des classiques bis : la conversation sur le chat. Parce que oui, tous les sites sont équipés de chat pour parler "directement" avec le harem, et là, idem, rien de très passionnant. IL vous interroge de but en blanc sur tout (métier, passions, dernière relation), répond à vos questions et bien souvent, le silence se fait. Mais pour vous occuper, il reste tous les obsédés qui parfois ne prennent même pas la peine de dire bonjour avant de demander si on est dispo ce soir, on a envie de câlins, on a de beaux pieds (si si, je vous jure, je l'ai eu plusieurs fois).

L'inédit : le flash. Alors ça, c'est le truc savoureux. IL peut en effet flasher, et s'ajouter à la longue liste des transis d'amour pour vous sans même parfois être allé voir votre profil. Cerise sur le gâteau, parfois il ne vous contacte même pas. Imaginez donc le tableau dans la vraie vie : IL vous croise dans la rue, s'agenouille, vous demande en mariage, se relève, époussete son pantalon et continue son chemin. Personnellement, j'ai vraiment envie de voir ce que ça pourrait donner.

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